Bonjour, je me présente, #seok koji# mais mes amis m'appellent #courgette, mais warning, ne l'utilisez pas trop souvent#, j'ai #23# ans et je suis actuellement #mécanicien#. Vous voulez en savoir davantage ? Et bien ... C'est un peu indiscret mais sachez que je suis #célibataire# et que je m'intéresse aux #femmes#.

► ta famille « il est ... sympathique. C'est assez dur de pouvoir décrire ce petit gamin, d 'autant plus que monsieur se trouve être bipolaire. le matin même vous pouvez le voir vous sauter dessus pour x et y raisons et deux heures plus tard, se mettre à vous gueuler dessus juste parce que vous ne lui avez pas repassé sa chemise. C'est le genre de personne a avoir sa propre opinion, il se fit toujours à sa première impression et ne remet jamais en cause ses choix. S'il fait une chose, c'est qu'il estime que c'est que du positif pour lui - ou pas. De plus, il ne s'en rend pas compte, mais il est extrêmement violent autant dans ses propos que ses gestes mais tout ça ne lui enlève pas son charme de petit chaton. »
► tes amis « doux ? qui ça, courgette ? mon dieu, il est loin d'avoir du tact. C'est certainement la personne qui arrive le moins à dire les choses de façon subtile. La tendresse, il ne connaît pas. Il pense que tout le monde est fort et grand, d'où ses multiples tape qu'il donne à l'épaule. En cours, c'était toujours celui qui avait de bonnes notes tout en foutant le bordel, celui qui foutait la rage aux autres parce qu'il n'avait pas besoin d'étudier dix heures pour comprendre un truc ou encore celui qui disparaît soudainement lors des soirées et qui réapparait quand il veut. Il aime se la jouer mystérieux et l'enfant de la night. ps; si vous avez un coup de blues, évitez d'aller le voir, il ne ferra que vous démoraliser encore plus.»
► tes exs « que dire ... si vous voulez d'un mec qui passe son temps à vous prendre pour un de ses potes et qui se limite à un voire deux baisers dans la journée, adoptez le. Mais le bon point avec lui, c'est qu'il est très spontané, on ne peut jamais deviner ce qu'il va nous faire et le mauvais c'est qu'il a sort souvent sa petite arme, qui nous font toutes succombées ; son sourire, celui qui nous laisse croire qu'il nous prépare une surprise alors qu'en fait, il ne fait ça que pour nous faire chier. Il n'est pas doux, attentionné, de toute façon il fait toujours tout trop fort et nous blesse même jusqu'à avoir des bleus.»
► ton/ta petit(e) ami(e) il faudrait déjà en avoir une , non ?
► des inconnus « je le vois souvent traîner au coin de la rue, adossé contre un mur avec toujours la même compagnie, sa cigarette. Pour le peu que je le vois, il est toujours avec une clope au bec, serait-il malade ? on ne sait pas qui il est, il a l'air d'être un fou mais coincé d'un côté. Lorsqu'il ne sourit pas, on a cette impression de se faire bouffer par cet air impassible.»

► si tu es atteint cela ne fait que quatre mois que je commence à entendre cette petite voix. J'ai commencé à l'entendre pour la première lorsque j'étais dans la rue, une fille venait de passer devant moi et bien sûr, comme un idiot je me suis à répéter ce que Mogsoli m'avait « ça shake bien ... » et comme toutes bonnes petites femmes outrées, j'avais eu la bonne visite de sa main sur son mon doux visage. Je suis loin d'oublier cette « rencontre » avec cette ... ce Mogosli et puis d'abord qui s'est ? Pourquoi a-t-il fallu que je me mette à l'entendre ? Dois-je me méfier ? telle est la question. Mais en vérité, l'avoir entendu me facilite bien la vie. En effet, lorsqu'une chose représente bien trop de responsabilité pour moi, je n'hésite pas à rejeter la faute sur Mogsoli et dire que mes actes ne sont pas réellement de moi - ce qui est totalement faux puisque je suis au stade I et que je suis pleinement maître de mes actions.

Mes parents ont pensé que me faire vivre mon enfance jusqu'à quinze ans au Japon et le reste en Corée serez, cool. Je suis donc en Corée depuis huit ans. Depuis le début de mon adolescence, j'ai connu cet amour pour la nicotine. Je ne passe pas une journée sans en fumer une voire un paquet. Je suis un petit métisse d'1m80, à l'allure d'un mannequin, d'une démarche très sûre. Je ne fais pas attention à ma ligne mais je ne mange que très rarement. Sans savoir d'où vient cette manie, je me mets à compter les choses qui sont en plusieurs ; comme mon paquet de cigarette, combien de pommes il y a dans le sachet qu'il vende au supermarché ou alors les chewing-gum dans les boîtes.

« oh oui , que c'est bon ... » c'était dans le salon, j'étais allongé sur le canapé, la couverture qui ne couvrait que le bas, les volets qui étaient fermé, seul la lampe à bulle verte que nous avions nous permettait de voir ce que ne faisions. J'adorais cette sensation, devoir fermer les yeux en essayant de croire que cette douceur se multiplierait par dix mille, savoir que je dois la mettre dans ma bouche et qu'il doit m'essuyer le reste se trouvant au coin de ma bouche ou encore plus bas, parfois, avec ses doigts magiques. Mais le must dans tout ça, c'est de savoir qu'on peut la prendre sous différentes façon, mais surtout avec d'autre saveur aussi succulente les unes que les autres. Je le regardais avec ce petit regard qui voulait tout dire, nous n'avions pas besoin de nous parler pour communiquer, juste un petit clignement des yeux nous suffit. Il venait de me faire plaisir et je me devais donc de lui rendre l'appareille en me mettant face à lui. Je lui demandais de fermer les yeux pour plus d'excitation, il ne savait pas ce que j'allais lui faire et c'était ça qui était bon. Je posais ma main sur ses joues, jouais avec ses lèvres avec mes mains pour qu'il pousse l'ouvrir et y mis ce qui devait être à l'intérieur. Une fois inséré à l'intérieur, Myung Ki ouvrit les yeux et affichait ce petit sourire qui m'était exclusivement réservé. Dû à sa réaction, mon sourire prit toute la partie de mon visage et mon coeur se mit à s'accélérer de plus en plus vite. Le rendre heureux est l'une de mes priorités, hors de question pour moi de le voir sans ce magnifique sourire qu'il affiche dès le réveil à mes côtés ou bien quand je décide lui gratter le dos, par exemple.

Soudainement, je me mis à sursauter et donnais un coup de pied à mon voisin, qui n'était autre que mon fabuleux Seong Myung Ki. Depuis que nous avons emménagé ensemble, je passe mon temps à dormir dans son lit en laissant le mien dans la poussière. Encore une fois, je me mis à sursauter avec en prime, toujours le coup de pied pour Myung Ki - ce qui me réveilla d'ailleurs. Je venais de rêver, il était si parfait alors pourquoi vouloir le déranger ? Dans mes songes, je venais d'acheter d'excellents pâtisseries de la boulangerie là où je travaille et je m'étais donc empresser de les faire goûter à cet petit grand homme de mon coeur. « ah , c'est pas très sexy tout ça ... » je fis une légère grimace en voyant quelque chose briller près de sa bouche, pour m'assurer que ce n'était pas ce que à quoi je pensais, je m'approchais lentement de son visage et vis de plus près cette chose. Après vérification, c'était bien de la bave. Il a beau être grand, séduisant et jouer l'homme mystérieux, monsieur bave au lit. Je me mis à rire légèrement lorsque soudain je le sentis venir, non il ne pouvait arriver maintenant, ce n'était pas la bonne occasion et surtout je n'étais pas prêts ! Qu'avais-je donc fait, était-ce quelque chose de grave ? pourquoi étais-je si inquiet de sa réaction ? C'est simple, alors que j'étais sagement en train d'examiner sa petite salive sur le long de sa joue, je mettais mis à lui éternuer en pleine face.

« non ... non, reste comme tu es ... pas bougé ! » je restais encore quelque seconde face à lui avant de mettre un peu distance, tout en restant dans le lit. Je me tournais pour voir l'heure sur le réveil, c'était le début de l'après-midi. Je savais très bien que Myung Ki avait un travail qui lui prenait énormément de temps et qu'il lui fallait son quota de sommeil, mais comme toujours, le petit con que je suis est obligé de tout foutre en l'air. Je le vis se mettre à bouger sa main, puis sa bouche ainsi que ses paupières. Par peur, je m'enroulais dans ma couverture pour ne laissait voir que mes cheveux et mes yeux. « j'ai rien fait ... je te le jure » je ne savais pas s'il faisait semblant de dormir ou pas, mais tout ce que je savais, c'était qu'il n'allait sûrement pas aimer ce que je venais de faire.