Bonjour, je me présente, Kamiyama Jun mais mes amis m'appellent Akuma, Jun et/ou Kami, j'ai 27 ans et je suis actuellement sans emploi, je passe mon temps à changer de travail à cause de Mogsoli. Vous voulez en savoir davantage ? Et bien ... C'est un peu indiscret mais sachez que je suis célibataire et que je m'intéresse aux femmes.

► ta famille
Ma famille m'avait toujours considéré comme quelqu'un de doux et gentil, mais elle clament haut et fort maintenant que Mogsoli m'a rendu méchant et brutal. Ce n'est pas tout à fait vrai, c'est juste que Mogsoli pour moi, c'est mon pire ennemi, elle ne m'aide pas du tout. Au final, mes parents pensent seulement que je me rebelle contre cette voix ce qui fait que je passe pour le méchant dans toute l'histoire. Par contre, aujourd'hui, mes parents doivent encore penser que je suis ainsi, car depuis l'accident, je ne les ai pas vu, ils font que me payer mon loyer pour que je reste loin d'eux.
► tes amis
Mes amis ce méfient de moi, je suis trop imprévisible selon eux, pourtant ça dépend des jours.
► tes exs
► ton/ta petit(e) ami(e)
► des inconnus

► si tu es atteint A quel stade en es-tu ? Quand est-ce que tout ça a commencé ? Mogsoli est plutôt du genre à te rendre service ou à te mettre dans l'embarras ? Comment imagines-tu l'avenir avec Mogsoli ? Comment réagis ton entourage face à tout ça ?

Si vous avez d'autres détails à donner sur votre personnage, ses habitudes, ses goûts, certains détails physiques, etc.

Lorsqu'il y a une semaine, il a dû donné son dernier concert en tant que KAT-TUN, Kaze avait un peu déprimé chez soi... Il ne sortait plus réellement le soir, il pratiquait ce qu'il avait a pratiqué, mais rien d'extrêmement nouveau. KAT-TUN avait été pour lui une façon de se donner à fond. Mais voilà, comme on dit toute bonne chose à une fin. La semaine dernière également, Atsu' avait décidé d'accepter un offre d'emploi plus payant à Tokyo, il aimait bien son emploi ici, mais comme il avait le gout de joindre les deux bouts plus facilement son choix avait été vite fait. Aujourd'hui était le jour fatidique et il les a tous laissés en plan... enfin, c'était ce qu'avait pensé Kaze avant de recevoir un message d'Atsuhiko.

• Message d'Atsu-Sensei:
  Salut Kaze-kun, avant que je parte, j'aimerais te parler de quelque chose, tu peux venir me rejoindre au café habituel d'Amerikamura.
  À toute!

Kaze fronça les sourcils... Amerikamura, s'il partait aujourd'hui pourquoi allait-il si loin de l'aéroport pour dire adieu ou même lui parler. La logique de son ami le surprendra toujours. D'ailleurs celui-ci n'avait pas laissé d'heure, ce qui voulait surement dire qu'il y était maintenant. Kaze prit donc le temps d'enfiler une veste et mettre ses chaussures avant de sortir du dortoir de la résidence. Il n'avait pas le gout de faire des adieux à son ami, pas comme ça, pas à la dernière minute... Pourtant toutes les fois où il avait essayé de lui adresser la parole, celui-ci l'avait fui. À se demander qui était l'adulte entre les deux.

Il prit le métro ce qui était le moyen le plus rapide à cette heure-ci pour se rendre à Amerikamura. Une fois sur place, il courut jusqu'au dit Café ou il n'y avait personne. Il regarda l'heure sur sa montre, elle indiquait 16h15... Pourquoi ne l’avait-il pas regardé, plus tôt, évidemment, il avait compris. Il y avait bien des choses que Kaze ne capterait jamais, bien que ce soit évident. Il se connaissait assez bien pour croire aux paroles des autres. Mais ça, il l'avait compris, son ami avait surement eu l'intention de lui parler, cependant son avion était à 17 h.

Il finit par ce commander tout de même un cappuccino, une fois le verre avec la boisson chaude dans la main, il se dirigea vers la sortie. Une fois à l'extérieur quand il releva la tête pour voir si par pure magie son ami se trouvait dans les horizons qu'il se fit bousculer par la demoiselle juste à côté qui avait surement senti une présence intruse en arrière d'elle, d'où la réaction. Il renversa alors la moitié du contenu dans la bouscula qui heureusement pour eux arriva ni sur l'un ni sur l'autre. Rapidement, la demoiselle elle s'excusa auprès de lui...

« C'est bon, ce n'est pas grave. »

Il sourit à la demoiselle qui était en train de le regarder. D'ailleurs, elle devait certainement être plus vielle que lui, les filles de son âge à lui, n'avait étrangement aucune politesse ses derniers temps... Elle tutoyait d'abord, elle, elle était comme lui, elle vouvoyait d'abord, ça devait surement faire partie de son job. Mais encore, il ne fallait pas mettre tout le monde dans le même panier, il pourrait avoir des exceptions partout, après tout il était sûr d'être un des seuls de l'école à vouvoyer tout le monde à la première rencontre. Cependant c'est à quelques exceptions près évidemment, certaines personnes ne méritent pas qu'il les vouvoie...

La demoiselle lui proposa de s'asseoir, s'il était seul. Drôle de façon de savoir des informations sur lui. Elle lui demanda ensuite son nom... Il s'apprêtait donc à s'asseoir pour ensuite répondre à ses questions quand son téléphone émit un son avertissant qu'il avait un message.

« Un instant je vous pris. »

Il prit son téléphone dans ses mains et lu le message envoyer:

• Message d'Atsu-Sensei:
  Je suis entièrement désolé Kaze, je te dirai ce que je voulais te dire quand je viendrai passer quelque temps à Osaka.
  Ja ne!

Cette fois-ci, il lui répondit un simple «Sayonara». Après tout, ça l'étonnerait que celui-ci vienne vraiment lui parler à Osaka. Il était ici et il avait eu du temps pour le faire... Se retournant vers la demoiselle, il s'assit sur la chaise libre en face.

« Je vous remercie de votre proposition, mais mon verre à moitié vide va me suffire, je n’en avais pas réellement gout pour être honnête. Pour vous répondre, je m'appelle Hayashi Kaze, mais vous pouvez m'appeler Kaze et me tutoyer. Et vous? Quel est votre nom, pour que je puisse me rappeler qui a essayé de m'ébouillanter avec mon propre cappuccino... »

Il ne put s'empêcher de laisser un petit éclat de rire traverser ses lèvres. Il s'en suit un magnifique sourire, cette demoiselle avait réussi sans le savoir à lui redonner quelque peu sa bonne humeur. Le reste de la journée allait bien se passer, il le savait maintenant.